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Les Fourmis

Le Jour des fourmis

de Bernard WERBER

Le Jour des fourmis

Prix éditeur : 22,00 €

Collection : Romans français

Éditeur : ALBIN MICHEL

EAN : 9782226061188

Parution : 5 novembre 1992

Pagination : 478 p.

Poids : 640 g.

Quatrième de couverture

Elles sont un milliard de milliards. Nous les remarquons à peine, elles nous guettent pourtant depuis longtemps.Pour certaines, nous sommes des Dieux. Pour les autres, des êtres malfaisants.Avec une intelligence et une organisation prodigieuses qui n'ont rien à envier aux armées les plus redoutables, elles se préparent à une lutte sans merci.Qui seront les vrais maîtres de la terre ? De la réponse à cette question leur survie dépend... La nôtre aussi.LE JOUR DES FOURMIS est-il vraiment arrivé ?

Après le succès phénoménal de son précédent roman, LES FOURMIS, best-seller international, traduit en douze langues, primé par de nombreux jurys, mis au programme de certaines classes de biologie, BERNARD WERBER, romancier et journaliste scientifique, poursuit sa grande saga des « intra-terrestres ». Il nous entraîne plus loin encore dans un univers hallucinant et terrible, où grouillent des insectes aux comportements pervers, féroces, fascinants. Plus qu'un thriller, LE JOUR DES FOURMIS devient une formidable et troublante odyssée moderne, mêlant la fiction et l'imaginaire à la science la plus avancée de l'infiniment petit.

« Un extraordinaire et fascinant roman d'aventures. Fantastique dans tous les sens du terme. Imaginez que Maurice Maeterlinck, Konrad Lorenz, Jules Verne et Alexandre Dumas se soient donné rendez-vous, munis du savoir d'aujourd'hui. Avec à la fois des connaissances entomologiques très poussées et un étonnant don de conteur, Bernard Werber réussit ce cocktail fulgurant et rare qui enchante si fort le lecteur qu'il ne peut plus s'arracher au monde des Fourmis. »Annette Colin-Simard, Le Journal du Dimanche

« L'art de Bernard Werber consiste à nous instruire en nous amusant : ce livre est avant tout un roman, un polar même, dont on ne peut s'extraire. Alors on apprend tout des moeurs des fourmis sans le faire exprès, dans l'attente angoissée du dénouement. »Fabien Gruhier, Le Nouvel Observateurs

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