Mondialisation : consommateur ou acteur ?
Prix éditeur : 9,90 €
Collection : Le choc des idées
Éditeur : LE MUSCADIER
EAN : 9791090685123
Parution : 20 juin 2013
Pagination : 128 p.
Façonnage : broché
Poids : 152 g.
Quatrième de couverture
Désindustrialisation, compétition déloyale, délocalisations… autant de maux généralement associés à la mondialisation. Dès lors, de nombreuses voix s'élèvent pour réclamer de nouvelles règles. Mais la mondialisation est-elle vraiment le vecteur négatif décrit par ses opposants ? Pour les tenants du modèle économique actuel, elle est au contraire source de progrès incontestables pour notre monde, et la transformer, ce serait courir le risque de crises bien plus graves que celles que nous traversons aujourd'hui. Plongé au cœur du débat, chacun trouvera dans ce livre les repères essentiels à une meilleure compréhension du phénomène, de ses enjeux et de ses alternatives, pour aujourd’hui et pour demain.
Sommaire
Introduction
La mondialisation comme devenir
Un processus de longue durée
Une réalité multidimensionnelle et intégrée
L’économie se mondialise car les sociétés se mondialisent (économie comprise)
Acteurs, grands et petits
Aussi à sa propre échelle
Ni rêve, ni cauchemar
Confrontation
Les biens publics mondiaux : une alternative à la mondialisation néolibérale
La mondialisation comme repli
Qui protège la mondialisation actuelle ?
Les maux de la mondialisation
Les biens publics mondiaux
Conclusion
La mondialisation : source d’emplois et de prospérité
La mondialisation, une réalité ancienne
La catastrophe du protectionnisme
La mondialisation, c’est plus d’emplois
La mondialisation, c’est moins de pauvreté
Des raisons d’être optimist
Conclusion
Droit de réponse
Jacques Cossart
« Une mondialisation presque poétique »
« Ce monde [qui] permet [aux produits] d’arriver en magasin »
« L’ouverture à l’échange n’a jamais conduit à la guerre, ni même à un désastre économique ou social »
Lucas Léger
La mondialisation aide aussi les plus démunis
Les BPM : comment ? quels financements ?
L’importance de l’accès au capital
Conclusion
Le Monde comme bien public