Je fignole

Quatrième de couverture

Denton Farr était riche. Il n'avait pas besoin des deux millions de dollars qu'il allait voler. Mais il n'existait pleinement que lorsqu'il préparait un coup réputé irréalisable.

Il n'était pas téméraire, il n'avait aucune envie de mourir sous les balles de la police, ou en respirant les gaz à la prison de San Quentin. Mais il ne vivait heureux que dans l'attente du danger et la conquête de l'impossible.

Autrement, il s'ennuyait à mourir.