Pire que le mal

Quatrième de couverture

Il est toujours difficile de savoir ce que les gens ont dans la tête...

Strip-teaseuse désillusionnée, la quarantaine, Sarah apprend qu'elle a une tumeur au cerveau, inopérable. Utilisant en désespoir de cause des techniques de « visualisation » et d'auto-hypnose, elle réussit miraculeusement à la faire régresser et même disparaître. Mais comme elle va bientôt le constater, le remède est parfois pire que le mal. Régulièrement la proie d'étranges absences dont elle n'émerge que pour découvrir que ses amis et relations ont été assassinés, elle s'enfonce dans une spirale de terreur. Et si c'était vraiment elle, la meurtrière ? L'auteur de ces meurtres déments à faire pâlir le plus endurci des psychopathes ? Elle, ou cette chose tapie dans son cerveau depuis des années et des années. Depuis que, petite fille, à Arkham, elle a rencontré le mal. Ou pire...

Critique de cinéma, également réalisateur de clips, de films industriels, et bientôt de son premier long métrage, Jay Bonansinga est déjà l'auteur de « Black Mariah ». Il vit près de Chicago.