La Cité des saints et des fous

Quatrième de couverture

Peuplé de meurtriers, d’artistes fous, de Saints Vivants, de calmars géants intelligents et d’étranges créatures discrètes semblables à des champignons, ce livre-univers d’un Rabelais qui aurait lu Nabokov, grotesque, tragique et parfois déchirant, dessine l’un des plus beaux portraits de ville de la littérature moderne : Ambregris, métropole tentaculaire où trouvent refuge toutes les folies.

VanderMeer a choisi la fiction pour militer et tend à favoriser le dialogue avec les scientifiques, heureux qu’il est de pouvoir servir de lien entre eux et le public. Qui, malgré son exigence, continue de lui faire fête. Télérama.

Un objet littéraire Weird, polytextuel, expérimental et magistral, aussi dérangeant sur le fond que sur la forme. Les Chroniques du chroniqueur.

Introduction de Michael Moorcock.