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Rome, Naples et Florence de Stendhal illustré par les peintres du Romantisme

de STENDHAL

Rome, Naples et Florence de Stendhal illustré par les peintres du Romantisme

Prix éditeur : 52,00 €

Collection : La petite collection

Éditeur : DIANE DE SELLIERS

EAN : 9782903656706

Parution : 1 septembre 2010

Pagination : 312 p.

Quatrième de couverture

Le « Grand Tour » en Italie tel que l’a vécu Stendhal : une explosion de lumières, de couleurs, de sensations. 
Paysages, monuments, personnages, scènes de rue décrites par Stendhal sont illustrés par les plus grands peintres de l’ère romantique.
 
L’Italie de Stendhal
L’Italie fut pour Stendhal le pays où son âme pouvait flamboyer librement et exprimer toutes les palettes de ses émotions, de ses sensations, de lui-même. Les femmes italiennes, les peintres qu’il découvre, les premiers opéras de Rossini, l’église des papes, tous ces moments de vie captés dans l’instant trouvent leur pleine intensité dans les rues de Milan, de Rome, Naples ou Florence, à travers les lumières et les paysages italiens.
 
Milan, la passion de la musique
Une grande partie du voyage de Stendhal se passe à Milan, ville qui deviendra pour lui un point de référence tout au long de son récit. Milan, c’est la ville où s’exprime le mieux sa passion pour la musique, c’est également là qu’il apprend à « traiter avec les femmes » au cours de longues conversations dans les salons. Puis Stendhal visite Bologne, Florence, Pavie, Naples...
 
Les œuvres des peintres du Romantisme
Cette lumière, cette intensité propres à l’Italie, nous avons voulu les traduire en accompagnant les récits de voyages de Stendhal de 150 œuvres des peintres du Romantisme, images les plus fortes et les plus évocatrices du sentiment romantique et des élans de l’âme qui faisaient vibrer Stendhal. Placées en regard du texte, ces œuvres souvent méconnues permettent au lecteur de suivre Stendhal comme un guide tout en admirant ce qu’il décrit.
 
Texte intégral.
Préface de Philippe Berthier.
150 peintures du début du XIXe siècle.
1 volume broché sous jaquette, 312 pages, 19 x 26 cm.
 
Diane de Selliers a eu l’excellente idée de compléter le texte stendhalien par des peintures de ses contemporains qui, à leur tour, découvraient les mêmes paysages... Pour se faire plaisir, ce livre est sans doute ce que l’on peut faire de mieux.
Le Nouvel Observateur, Frédéric Vitoux

 

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