Le Routard en Smoking Blanc

Quatrième de couverture

Le Routard en smoking blanc

de Youenn Kervennic :

un livre voyage, à lire et relire au hasard de n'importe quelle page, par touches successives, c'est magique : cette frénésie de voyage qui continue à le titiller : il est toujours amoureux de la liberté..

Quelle est cette passion charnelle qui pousse Youenn Kervennic à traverser en solitaire toutes les Amériques du Québec à la Terre de Feu ?
Le Routard en smoking blanc nous raconte cette frénésie de voyage qui continue à le titiller : il est toujours amoureux de la liberté.

"Le sac à dos a le pouvoir magique de se délester de la panoplie de l'indispensable pour ne garder que ce qui est vraiment utile tout en libérant l'esprit de mille contraintes. Les besoins s'évanouissent, les horaires s'assouplissent, les itinéraires s'improvisent."

"Il m’ordonna de me lever, je me levai, de me tourner, je me tournai. Il tenait un bandeau à la main, un vulgaire morceau de chambre à air d’un pneu de voiture coupé large en son milieu et en lanière dans les extrémités. Et puis je ne vis plus rien, seule l’odeur du caoutchouc me rentra dans les narines. Dans le noir, je perdis un peu la notion d’équilibre, et il me prit aussitôt par le coude. Aucun doute, je partais pour la salle de torture."

Au coeur d'une multitude de rencontres et de surprises, le récit nous invite au voyage et nous entraîne au grand large. Youenn et tous ses compères et contemporains de plus en plus attachants, nous étonnent, nous fascinent au point qu'au détour d'une page, on se prend d'inquiétude lorsque les événements tournent mal ou au contraire le dénouement heureux d'une énième mésaventure nous réconforte. Cette empathie évidente et le talent du conteur nous font partager le sentiment que donner un sens à son existence est aussi partir à la rencontre des humains. 

Ainsi, à la Kerouac, déambule sur la route l'intuition de cette prose spontanée offerte au lecteur. 

Sommaire

REMERCIEMENTS

Ma première pensée vient à tous ceux qui m’ont aidé sur la route - un repas, un toit, un bout de chemin… - pour la plupart je ne m’en rappelle même pas, mais ils étaient là. Ils m’ont fait découvrir leurs pays : mes maîtres en quelque sorte. Merci !

Au fil des années, j’ai rédigé une liste de noms de personnes. Ce sont des amis qui m’ont hébergé quelques jours lorsque j’écrivais ou avec qui j’ai eu des discussions sur tel ou tel sujet. D’autres ont bien voulu me donner leur avis sur des parties du texte. Je vous embrasse tous :

Evelyn Accad, Liz Martin, Scott et Gina Hearlihy, Keith Harden, Karen Feasel, Maria Rose, Annie Wiart et Richard Blakely, Jorge et Sylvia Diversi, Rhonda et David Hoyh, Tony et Barbara Hirsch, Victor Tejada, Gayle Laperouse, les familles de Luis Solís Rodríguez et Rossell, Maria Amado Bravo, Vera Campos et Miguel Sánchez, Sarah Pouzet, Javier Ramírez Díaz et Ernesto Molina Vidal, Leonardo Campos et Lorena Alfaro, Rosa Saavedra, Stéphanie Ravillon, Tom, Cathy et Patrick Abel.

Parmi ces amis, certains m’ont invité à rester chez eux pour longtemps. C’est là que j’ai le plus rédigé, en toute quiétude, dans les meilleures conditions qui soient : soleil, neige, plage, amitié, etc. Je pense en particulier à :

Marcelo Diversi et Marble aux US, David et Martha ?omas au Costa Rica, Ronan Le Goff et Manon Romigou au Brésil. Hugs et beijos !