Smarra

Quatrième de couverture

En choisissant Charles Nodier, chantre en son temps du romantisme en littérature, Patrick Mallet nous fait découvrir, une fois de plus, un texte fort et magique.

S'il a brodé autour du Moby Dick d'Herman Melville avec Achab, il adapte ici un chef d'oeuvre oublié où le héros sombre dans un demi-rêve, demi-cauchemar que l'on aurait pu, 140 ans plus tard, qualifier de psychédélique. Smarra ou les démons de la nuit évoque , avant la lettre, lovecraft. Les amoureux de l'étrange et du fantastique sont à la fête dans ce Carrément BD où l'auteur signe des pages au graphisme élégant qui complète parfaitement ce récit aux accents poétiques et hallucinatoires.